"La vie, c'est comme une bicyclette, il faut avancer pour ne pas perdre l'équilibre." - Albert Einstein
N.B.: Même si cet article est parti sur un ton humoristique, il relate bien la réalité du marché actuel. À travers des titres taquins et des expressions pleines d'ironie, nous avons tenté de démystifier la comédie immobilière qui se joue sous nos yeux. Mais derrière chaque punchline se cache une vérité bien ancrée : le marché de l'immobilier jongle entre des taux de crédit capricieux, des acheteurs qui vendent des maisons imaginaires, et une danse incessante entre les vendeurs pressés et les acheteurs sans boussole financière. Accrochez-vous, car la réalité du secteur immobilier peut parfois rivaliser avec la meilleure des comédies, et nous vous proposons une plongée aussi amusante que réaliste dans ce monde où les transactions deviennent des saynètes, et les visites, des spectacles imprévisibles.
Alors que les taux de crédit jouent les divas en se calmant un peu, le rêve du grand crash immobilier semble s'éloigner comme un lundi matin après un long week-end. Les prix flirtent avec la baisse, mais rien de spectaculaire, désolé pour ceux qui attendaient le grand spectacle. Pour équilibrer la montée des taux et la disparition mystérieuse du pouvoir d'achat, il faudrait une réduction des prix d'environ 15 à 20%. On se croirait dans une quête du Graal, mais soyons réalistes, ce n'est pas faisable dans l'immédiat. Surtout dans notre région Bretagne où rien ne baisse et voire même certains biens ont encore subit une petite augmentation dans certains secteurs bien définis (autour des 4%).
Donc, pas de crash en vue, mais un marché qui ressemble à une partie de Monopoly où tout le monde reste figé sur sa case, même quand il est à deux doigts de passer par la case départ.
Imaginez ça : près de 7 vendeurs sur 10 sont également des acheteurs. C'est comme jouer à cache-cache avec soi-même, mais dans l'immobilier. La psychologie des acquéreurs-(re)vendeurs, souvent sous-estimée, est en réalité un spectacle à ne pas manquer. On parle ici d'une réalité, pas d'une tendance éphémère. Bienvenue dans le monde des vrais-faux acquéreurs revendeurs.
Dans ce marché qui se transforme en arène, où chaque euro compte comme un vote à l'Eurovision, nous avons remarqué que la moitié des recherches d'acquisition proviennent de gens qui pensent vendre pour acheter. Jusque-là, c'est du classique, mais attendez, maintenant c'est comme essayer d'attraper un kangourou avec une cuillère en bois parce que les prêts relais sont aussi rares qu'un panda dans le désert. Ça change tout, croyez-moi !
Les acquéreurs-vendeurs que nous croisons sont devenus des créatures étranges : ceux qui cherchent au-dessus de leur budget en pensant qu'ils vont marchander le prix comme s'ils étaient sur un marché aux puces, tout en gonflant le prix de leur propre bien sans même le mettre en vente ou l'estimer. Ils pensent que leur maison se vendra comme des hot-dogs à une partie de poker, rapide et sans discussion.
« On dirait qu'ils veulent faire des visites comme s'ils allaient au musée, sans même préparer leur porte-monnaie. Maintenant, je suis obligé de refuser des visites pour ne pas transformer les vendeurs en guides touristiques involontaires. »
Cette attitude, aussi charmante soit-elle, a l'effet d'un chewing-gum sur le marché, rendant toute offre d'achat aussi réaliste qu'un épisode de science-fiction. Ces clients veulent des visites, mais n'ont aucune idée de leur budget ni de leur timing. Ils sont comme des aventuriers sans carte, partant à la recherche du trésor sans même savoir s'ils ont les moyens de l'acheter. C'est comme organiser un mariage sans avoir le nom du fiancé.
Une anecdote hilarante : « J'ai eu un client qui voulait visiter une maison à 650 000 €, financée en partie par la vente de sa propre maison. Le hic ? Il n'avait même pas mis en vente sa maison, ni fait estimer. Il pensait que sa maison valait 450 000 €, le prix du marché d'il y a un an, lui laissant une marge de manœuvre de 600 000 €. En résumé, il prévoyait déjà de négocier au moins 50 000 € sur son achat, mais il gonflait le prix de sa maison à vendre. Ça, c'est ce qu'on appelle une transaction crédible dans un univers parallèle. Ces visites, tous les jours, c'est comme une série Netflix qui n'aboutit jamais. Ça fait perdre du temps à tout le monde : propriétaires, acheteurs et même aux professionnels de l'immobilier qui ont mieux à faire. »
En ces temps où vendre relève de l'art du profilage, on insiste sur l'importance de dévoiler le vrai visage des acquéreurs. C'est comme choisir un partenaire de danse : il faut être sérieux et crédible. Surtout maintenant, avec une armée de vendeurs pressés (successions, divorces, et j'en passe), les autres restant en mode attente. Expliquer, considérer la réalité et organiser des visites de qualité, voilà le rôle des agents immobiliers, les gardiens du temple immobilier. Parce que mal ajuster une proposition d'achat, dans un monde où les délais de vente sont plus longs qu'un discours politique, peut avoir des conséquences aussi sérieuses qu'un chat qui fait tomber tous les verres d'une étagère.
"La vie est 10% ce qui nous arrive et 90% comment nous y réagissons." - Charles R. Swindoll
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