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Avril 2025 Tendances du marché immobilier Breton et Français. Étude complète

  • christiantonelli
  • 25 avr.
  • 20 min de lecture

📊 Tendances du marché immobilier en France – Avril 2025


🏠 Évolution des prix immobiliers


Les Français s'intéressent à savoir si les prix vont continuer à se stabiliser ou augmenter légèrement (+2 % en moyenne nationale selon certaines prévisions), après plusieurs années de baisse. Les grandes villes comme Paris, où les prix ont chuté significativement (environ 9 293 €/m²), et les villes de taille moyenne, plus abordables, suscitent un vif intérêt.


📉 Baisse des taux d'intérêt


La tendance baissière des taux de crédit immobilier (autour de 3,19 % en février 2025, contre plus de 4 % fin 2023) est un sujet brûlant. Les acheteurs, surtout les primo-accédants, cherchent à savoir si c'est le bon moment pour emprunter, avec des conditions de financement plus favorables et une concurrence accrue entre les banques.


🆓 Ajustements du PTZ


L'élargissement du Prêt à Taux Zéro à partir du 1er avril 2025, couvrant désormais toute la France et incluant les maisons neuves, attire beaucoup d'attention. Ce dispositif est perçu comme une opportunité majeure pour les primo-accédants, stimulant les recherches sur les critères d'éligibilité et les montants accordés.


📈 Reprise du marché


Les signaux d'une reprise fragile du marché immobilier, avec une hausse des transactions prévue (environ 900 000 en 2025 contre 771 000 en 2024), alimentent les discussions. Les acheteurs et vendeurs veulent comprendre si 2025 sera une année propice pour investir ou vendre, surtout dans un contexte d'incertitude économique et géopolitique.


🧾 Facteurs pratiques et fiscaux


Ces sujets dominent en raison de l'amélioration progressive des conditions d'achat (baisse des taux, PTZ élargi) et de l'espoir d'une stabilisation des prix, rendant le marché plus attractif. Les consultations sont également influencées par des préoccupations pratiques, comme la hausse des frais de notaire dans certains départements (jusqu'à 5 % pour les taxes de publicité foncière) et l'impact des réformes fiscales sur l'investissement locatif.


📚 Pour aller plus loin


Pour une analyse plus précise, il serait utile de consulter les derniers baromètres immobiliers (par exemple, Meilleurs Agents ou Notaires de France) ou de suivre les discussions sur des plateformes comme X, où les professionnels partagent des analyses conjoncturelles.


🏡 Évolution des prix immobiliers en France en avril 2025 : tendances nationales et régionales


🇫🇷 Contexte national : une reprise fragile mais prometteuse


En avril 2025, le marché immobilier français montre des signes de reprise progressive après deux années marquées par une baisse des transactions et des prix. Cette dynamique, portée par une baisse des taux d’intérêt, un élargissement du Prêt à Taux Zéro (PTZ) et une stabilisation des prix, varie toutefois considérablement selon les régions et les secteurs (maisons, appartements, neuf, ancien). Cet article explore les tendances nationales et régionales, appuyées par les données les plus récentes des notaires, des plateformes comme Meilleurs Agents, et des analyses sectorielles.


🔑 Facteurs clés de l’évolution des prix


Baisse des taux d’intérêt : Les taux de crédit immobilier, qui avaient atteint 4,25 % fin 2023, sont redescendus à environ 3,3 % début 2025. Cette décrue, combinée à une concurrence accrue entre les banques, améliore le pouvoir d’achat des acheteurs.


Ajustements du PTZ : Depuis le 1er avril 2025, le PTZ a été élargi à toute la France, incluant les maisons neuves, ce qui stimule la demande des primo-accédants.


Stabilisation des prix : Après une baisse marquée (-3,9 % au 3e trimestre 2024), les prix des logements anciens ralentissent leur chute, avec une projection de -0,7 % sur un an à fin février 2025.


Dynamisme régional : Les évolutions des prix varient fortement selon les zones géographiques et les types de biens (maisons vs appartements, neuf vs ancien).


🗺️ Tendances régionales des prix immobiliers


🏙️ Île-de-France : une reprise timide mais notable


L’Île-de-France, particulièrement touchée par la baisse des prix depuis 2022 (-14,2 % à Paris par rapport au pic de 2020), montre des signes de redressement. À Paris, le prix moyen au m² atteint 9 420 € en février 2025, avec une baisse annuelle ramenée à -1,4 % contre -7,7 % un an plus tôt. En avril 2025, certaines sources signalent une légère hausse des prix dans la région, notamment pour les appartements (+1,4 % en un an).


Petite Couronne : Les prix des appartements reculent encore légèrement (-2 % en février 2025), mais les maisons se stabilisent (-2,7 %).


Grande Couronne : Les prix sont quasi stables (-0,5 % pour les appartements, -0,6 % pour les maisons).


Départements clés : Les Hauts-de-Seine (7 015 €/m²) et les Yvelines (6 012 €/m²) restent parmi les plus chers, avec des hausses historiques significatives depuis 2000.


🌄 Province : des dynamiques contrastées


En province, la baisse des prix s’atténue, passant de -3,4 % au 3e trimestre 2024 à -1,5 % sur l’année 2024, et -0,4 % prévu à fin février 2025. Certaines villes enregistrent même une reprise des prix.


🏢 Grandes métropoles :


Lyon : Les prix se stabilisent après une chute de 4,9 % en 2023-2024, avec une activité en hausse de 3,4 %. Le prix moyen au m² est d’environ 5 053 €.


Marseille : Une augmentation soutenue des prix (+26,6 % depuis 2020) place la ville parmi les plus dynamiques, avec un prix moyen de 3 272 €/m².


Toulouse, Lille, Reims : Ces villes affichent une stabilisation des prix et des délais de vente courts (moins de 75 jours), portés par une demande soutenue.


Bordeaux : Après une baisse marquée (-8,6 % en 2024), les prix se stabilisent autour de 2 652 €/m², avec une explosion de la demande (+38 % en 2024).


Nice : Les prix restent élevés (6 574 €/m²), soutenus par l’attractivité touristique et économique.


🏡 Villes moyennes et zones rurales :


Les zones B1 (agglomérations intermédiaires) et B2 (communes modestes) enregistrent des hausses modérées (+2-3 % par an avant 2022), mais restent plus abordables. Par exemple, le prix médian d’une maison ancienne hors aires d’attraction des villes (AAV) est de 1 390 €/m².


🌍 Départements et régions d’outre-mer (DROM)

Les DROM enregistrent environ 9 100 transactions en 2024, soit 1 % du total national, avec une baisse des volumes similaire à la métropole (-17 %). Les prix varient selon les territoires :


  • La Réunion et Guadeloupe : Forte proportion de maisons (54 % des ventes), mais baisse des transactions de 20 %.

  • Martinique : Baisse plus modérée (-12 %), avec 49 % de maisons.

  • Guyane : Volumes stables.


🏘️ Secteurs : maisons, appartements, neuf et ancien


🏠 Maisons vs appartements


Maisons : Les prix des maisons anciennes baissent plus que ceux des appartements (-2,3 % vs -1,7 % en 2024), mais cette tendance s’atténue en 2025 (-1,3 % en Île-de-France, quasi stable en province). Les maisons restent prisées dans les zones périurbaines et rurales.


Appartements : Les appartements, particulièrement dans les grandes villes, montrent une meilleure résilience, avec une stabilisation des prix (+1,6 % dans l’ancien depuis mi-2024).


🆕 Neuf vs ancien


Ancien : Le marché de l’ancien domine avec 780 000 transactions à fin août 2024, et une reprise progressive en 2025 grâce à la baisse des taux. Les prix se stabilisent, voire augmentent légèrement (+1,6 % depuis mi-2024).


Neuf : Le secteur du neuf reste en crise, avec une chute des ventes (-8,3 % au 2e trimestre 2024) et des mises en chantier (-21,5 % sur un an). Les prix élevés, liés à l’inflation des matériaux et aux normes environnementales, freinent la demande. Cependant, le PTZ élargi pourrait stimuler ce segment en 2025.


🧭 Disparités selon la densité et l’attractivité


Les prix immobiliers restent fortement corrélés à la densité de population et à l’attractivité économique. Dans les grandes aires d’attraction des villes (AAV) de plus de 700 000 habitants, comme Paris (3 430 €/m² pour une maison), les prix sont nettement plus élevés qu’en dehors des AAV (1 390 €/m²). Les zones touristiques, comme les Alpes-Maritimes (6 574 €/m²) ou le Var (2 825 €/m²), bénéficient également de prix élevés.


🔮 Perspectives pour le second semestre 2025


Les professionnels anticipent une légère hausse des prix au second semestre 2025 (+1 % selon la FNAIM), portée par :


  • Une baisse continue des taux d’intérêt (prévue entre 3,25 % et 3,5 %).

  • Une reprise de la demande, notamment dans les grandes villes et les zones en développement (ex. : Seine-Saint-Denis, boostée par les infrastructures des JO 2024).

  • Une stabilisation des volumes de transactions, favorisée par des conditions de financement plus souples (durées d’emprunt allongées à 27 ans sous conditions).


Cependant, des incertitudes persistent, notamment liées à la situation économique et géopolitique, ainsi qu’à l’impact des réformes fiscales (ex. : hausse des frais de notaire dans certains départements).


💡 Conseils pour les acheteurs et vendeurs


Acheteurs : 2025 est une année favorable pour investir, surtout en début d’année, avant une éventuelle hausse des prix. Privilégiez les zones en développement ou les villes moyennes pour un meilleur potentiel de valorisation.


Vendeurs : Si vous n’êtes pas contraint par une mobilité immédiate, attendre le second semestre pourrait maximiser votre prix de vente, surtout dans les zones tendues. Une estimation précise, basée sur les données notariales (DVF, Patrim) et l’expertise d’un agent local, est cruciale.


Conclusion


En avril 2025, le marché immobilier français se trouve à un tournant. La stabilisation des prix, la baisse des taux d’intérêt et les mesures comme le PTZ redonnent confiance aux acheteurs, tandis que les vendeurs bénéficient d’une demande en hausse dans certaines régions. Toutefois, les disparités régionales et sectorielles restent marquées, avec des grandes métropoles et zones tendues en tête de la reprise, tandis que le neuf et certaines zones rurales peinent à rebondir. Pour naviguer ce marché, une analyse fine des tendances locales et une anticipation des évolutions économiques sont essentielles.


📚 Sources : Notaires de France, Meilleurs Agents, FNAIM, INSEE, posts sur X.


🏡 Évolution des prix immobiliers en Bretagne en avril 2025 : tendances par secteur et département


🗺️ Contexte régional : une stabilisation après la baisse

Après une forte hausse des prix post-Covid (+8,8 % pour les appartements et +10 % pour les maisons entre 2020 et 2022), le marché breton a connu un ralentissement en 2023-2024, avec une chute des transactions (-23,4 % sur un an à fin 2023) et une baisse des prix, notamment dans l’ancien (-2,9 % pour les appartements, -0,7 % pour les maisons). En avril 2025, les prix se stabilisent globalement, avec une légère hausse prévue (+1 à 2 % d’ici fin 2025), portée par :


  • 📉 Baisse des taux d’intérêt : Les taux de crédit immobilier, autour de 3,3 % début 2025, facilitent l’accès au financement.

  • 🏗️ PTZ élargi : L’extension du Prêt à Taux Zéro au 1er avril 2025 stimule la demande pour le neuf et les primo-accédants.

  • 🌊 Attractivité régionale : La pénurie de logements et la forte demande, notamment sur le littoral et dans les métropoles, maintiennent les prix à des niveaux élevés.


Les prix médians en Bretagne en mars 2025 s’établissent à 2 393 €/m² pour les maisons et 3 116 €/m² pour les appartements, selon Netvendeur, avec des variations importantes par département et secteur.


🧭 Tendances par département


📍 Ille-et-Vilaine : moteur de la région, mais signes de ralentissement

Ancien :


  • Appartements : 3 450 €/m² en 2024 (-3 %). Stabilisation en avril 2025, +1 % à Rennes (3 500 €/m²).


  • Maisons : +1 % à 2 350 €/m² en 2024. Baisse des transactions (-64 %).


Neuf :

  • +5 % en 2024 (4 740 €/m²), mais transactions en chute (-57 %). Le PTZ pourrait relancer ce segment.


Rennes : Stabilisation en 2025 après baisse de 7 % sur maisons anciennes. Studio : ~3 839 €/m².


Littoral (Saint-Briac-sur-Mer) : Prix record (705 500 € en 2023). Hausse continue en 2025.


📍 Côtes-d’Armor : abordabilité et hausse modérée


Ancien :

  • Appartements : 2 607 €/m² en 2018, hausse modérée jusqu’à 2023. Stabilisation en 2025 (~2 700 €/m²).

  • Maisons : +14 % en 2022-2023 (1 780 €/m²), stabilisation à 1 850 €/m² en 2025.


Neuf :

  • +25 % en 2022-2023 (4 340 €/m²). Ralentissement en 2025 (+2 %). Maisons neuves : 2 790 €/m².


Littoral : Hausse continue à Saint-Malo, Dinard – forte demande pour résidences secondaires.


📍 Finistère : résilience du littoral, ralentissement ailleurs


Ancien :

  • Appartements : 1 758 €/m² (2018) → 2 242 €/m² (2023). Stabilisation en 2025 à 2 300 €/m².

  • Maisons : +2,8 % à 1 837 €/m² (2019-2023), stable à 1 900 €/m² en 2025.


Neuf :

  • Prix stables (~4 000 €/m²). Baisse des mises en chantier (-21,5 % en 2024).


Zones clés :

  • Brest : légère baisse (-2,9 % en 2024).

  • Littoral (Concarneau) : hausse modérée (+3 %).


📍 Morbihan : forte pression sur le littoral


Ancien :

  • Appartements : +11 % (2018-2023), stabilisation à 2 800 €/m² en 2025.

  • Maisons : 707 500 € à Carnac (2023), hausse +2 % en 2025.


Neuf :

  • Stabilité des prix (+0,9 % en 2024). Rareté des terrains (+7,3 %) pousse les prix.


Littoral : Demande très forte → prix élevés et peu de baisse en vue.


📍 Loire-Atlantique : influence nantaise et littoral résilient


Ancien :

  • Appartements : -4 % (2023-2024 à Nantes), stabilisation à 3 600 €/m² en 2025.

  • Maisons : Recul de 2-3 %, hausse prévue en 2025 (2 800 €/m²).


Neuf :

  • Prix stables, ventes en baisse (-16 %). PTZ pourrait relancer le segment.


Littoral (La Baule) : Prix élevés (640 000 € en 2023), hausse modérée en 2025 (+1-2 %).


🏘️ Tendances par secteur


🏠 Maisons vs 🏢 Appartements


  • Maisons : Baisse plus marquée que les appartements en 2024, mais stabilisation en 2025.

    • Médian : 1 780 €/m² (Côtes-d’Armor) à 2 350 €/m² (Ille-et-Vilaine).

    • Zones rurales/périurbaines recherchées par les familles.

  • Appartements : Résilience en 2025 (3 116 €/m² moyenne). Studios métropoles toujours demandés (ex. Rennes : 3 839 €/m²).


🆚 Neuf vs Ancien


  • Ancien : Reprise des transactions en 2025 grâce à la baisse des taux. Stabilisation des prix (+1 % depuis mi-2024).

  • Neuf : En difficulté : ventes (-8,3 %), mises en chantier (-21,5 %). Prix élevés (ex. 4 740 €/m² en Ille-et-Vilaine), mais PTZ pourrait inverser la tendance fin 2025.


🌊 Littoral vs 🏞️ Intérieur


  • Littoral : Zones les plus chères (Saint-Malo, Carnac, La Baule), hausses continues en 2025 (+2-3 %). Maisons > 600 000 €.

  • Intérieur : Zones plus abordables (ex. Maure-de-Bretagne : 1 980 €/m²), mais demande plus faible → stagnation.


🔮 Perspectives pour le second semestre 2025


  • 📈 Hausse modérée des prix : +1 à 2 %, surtout dans les zones tendues (Rennes, littoral).

  • 🔄 Reprise des transactions : PTZ + baisse des taux dynamisent le marché.

  • 🧲 Résilience du littoral : Pénurie + tourisme → prix élevés.

  • ⚠️ Défis persistants : Frais de notaire, inflation, coût de la vie → frein dans zones moins dynamiques.


💡 Conseils pour les acteurs du marché


  • Acheteurs 🧍‍♂️ : Villes moyennes ou périurbaines (Brest, Vannes). Premier semestre 2025 favorable (taux + PTZ).

  • Vendeurs 🏷️ : Littoral → vendre vite. Zones rurales → faire estimer précisément.

  • Investisseurs 📊 : Rennes et Nantes intéressants, mais attention aux passoires thermiques.


✅ Conclusion


En avril 2025, le marché immobilier breton se stabilise après une période de baisse, avec des dynamiques contrastées selon les départements et secteurs. L’Ille-et-Vilaine et la Loire-Atlantique, portées par leurs métropoles, mènent la reprise, tandis que le littoral (Morbihan, Côtes-d’Armor, Finistère) reste un marché à part, avec des prix élevés et une demande soutenue. Le secteur du neuf, bien que fragilisé, pourrait bénéficier des mesures comme le PTZ, tandis que l’ancien domine par sa résilience. Pour naviguer ce marché, une analyse locale fine et une anticipation des évolutions économiques sont cruciales.


📚 Sources : Notaires de Bretagne, Meilleurs Agents, Netvendeur, Ouest-France, Le Télégramme, Actual Immo.


🏡 Baisse des taux d’intérêt en avril 2025 : impact sur le marché immobilier en Bretagne avec chiffres clés


📉 Contexte : une baisse progressive des taux après un pic en 2023


En 2023, les taux d’intérêt des crédits immobiliers ont atteint un sommet à 4,25 % en moyenne pour un prêt sur 20 ans, rendant l’accès au crédit plus difficile et contribuant à une chute des transactions immobilières (-23,4 % en Bretagne à fin 2023). Depuis fin 2023, une baisse progressive s’est enclenchée, portée par une détente des marchés financiers et une concurrence accrue entre les banques. En avril 2025, cette tendance se confirme, redonnant de l’élan aux acheteurs, notamment les primo-accédants.


📊 Évolution des taux d’intérêt : chiffres clés


  • Février 2024 : Taux moyen de 3,85 % sur 20 ans (source : Meilleurtaux).

  • Octobre 2024 : Taux moyen de 3,55 % sur 20 ans, avec des offres à 3,30 % pour les meilleurs profils (source : CAFPI).

  • Février 2025 : Taux moyen de 3,19 % sur 20 ans, avec des taux planchers à 2,90 % pour les emprunteurs à hauts revenus (source : Vousfinancer).

  • Avril 2025 : Taux moyen estimé à 3,25 % sur 20 ans, avec des projections de stabilisation entre 3,15 % et 3,35 % d’ici fin 2025 (source : projections FNAIM et courtiers).


🔁 Pour les durées plus longues, souvent privilégiées en Bretagne :


  • 25 ans : Taux moyen de 3,45 % en avril 2025, contre 4,45 % fin 2023.

  • 27 ans : Certaines banques proposent des durées allongées sous conditions, avec des taux autour de 3,60 %.


⚙️ Facteurs de la baisse


  • 🏦 Politique monétaire : La Banque centrale européenne (BCE) a stabilisé ses taux directeurs depuis mi-2024, réduisant la pression sur les obligations d’État (OAT 10 ans à environ 2,5 % en avril 2025).

  • 🏁 Concurrence bancaire : Les banques assouplissent leurs critères pour capter une clientèle solvable, offrant des décotes aux profils premium (revenus > 50 000 €/an, apport > 10 %).

  • 📈 Anticipation de reprise : Environ 900 000 transactions prévues en France en 2025 (contre 771 000 en 2024).


🏘️ Impact sur le marché immobilier breton


1. 💰 Amélioration du pouvoir d’achat


Exemple :

  • Pour un prêt de 200 000 € sur 20 ans :

    • À 4,25 % (fin 2023), mensualité : 1 247 €.

    • À 3,25 % (avril 2025), mensualité : 1 135 € → économie de 112 €/mois.

  • Pour un couple avec 4 000 €/mois → capacité d’emprunt passe de 230 000 € à 250 000 €.


2. 🔄 Reprise des transactions


  • 65 000 ventes en 2024 → prévision : 75 000 ventes en 2025 (+15 %).

  • Rennes : +3 % de ventes d’appartements anciens.

  • Saint-Malo / Carnac : forte demande sur les maisons haut de gamme (~700 000 €).


3. 🏗️ Relance du marché du neuf


  • Ventes : -8,3 % en 2024 → prévision de reprise en 2025 grâce à la baisse des taux et au PTZ élargi.

  • Ex. Ille-et-Vilaine : 4 740 €/m² pour du neuf, +5 % de transactions prévu.


4. 🧑‍💼 Attractivité pour les primo-accédants


  • PTZ élargi = boost pour l’achat d’un T2 à Brest (2 300 €/m²) ou d’une maison près de Vannes (2 800 €/m²).


🗺️ Variations par département


📍 Ille-et-Vilaine

  • Taux : 2,95 % (meilleurs profils), moyenne à 3,20 %.

  • Prix Rennes : 3 500 €/m² (appart.), 2 350 €/m² (maison).

  • Ventes : +10 % prévu en 2025.


📍 Côtes-d’Armor

  • Taux moyen : 3,30 %, jusqu’à 3,10 % sur 15 ans.

  • Prix : maisons à 1 850 €/m².

  • Reprise lente sauf à Saint-Malo.


📍 Finistère

  • Taux : 3,35 %, plancher à 3,00 %.

  • Prix Brest : 2 300 €/m² (appart.), -2,9 %.

  • Ventes : +7 % prévu. Littoral (Concarneau) résilient.


📍 Morbihan

  • Taux : moyenne 3,25 %, jusqu’à 3,05 % pour résidences secondaires.

  • Carnac : 707 500 € (maisons haut de gamme).

  • Bonne dynamique grâce à acheteurs aisés.


📍 Loire-Atlantique (Bretagne historique)

  • Taux : moyenne à 3,20 %, jusqu’à 2,90 % à Nantes.

  • Prix Nantes : 3 600 €/m² (appart.), La Baule : 640 000 € (maisons).

  • Transactions : +12 % prévu en 2025.


🔮 Perspectives pour 2025


  • Stabilisation des taux : entre 3,15 % et 3,35 %.

  • Hausse des transactions : jusqu’à 80 000 ventes possibles en Bretagne.

  • Prix : légère hausse prévue (+1 à 2 %).

  • Risques : possible remontée des OAT, inflation.


💡 Conseils pour les emprunteurs



  • 📉 Négociez votre prêt : via comparateurs ou courtiers → viser <3 % si possible.

  • 🏡 Profitez du PTZ : jusqu’à 40 % du coût d’un logement neuf.

  • 💼 Anticipez les frais : notaire, taxes, etc., notamment en Bretagne (jusqu’à 5 %).


✅ Conclusion


La baisse des taux d’intérêt, de 4,25 % fin 2023 à environ 3,25 % en avril 2025, redynamise le marché immobilier breton en améliorant le pouvoir d’achat et en stimulant les transactions. Rennes, le littoral et les métropoles comme Nantes en profitent le plus, tandis que les zones rurales restent plus abordables. Avec des prix stabilisés (3 116 €/m² pour les appartements, 2 393 €/m² pour les maisons) et des conditions de financement favorables, 2025 s’annonce comme une année propice pour les acheteurs, à condition de bien négocier son prêt et de surveiller les évolutions économiques.


📚 Sources : Notaires de Bretagne, Meilleurs Agents, Vousfinancer, CAFPI, FNAIM, Netvendeur, posts sur X.


🏡 Reprise du marché immobilier en Bretagne en avril 2025 : dynamiques et chiffres clés


📉 Contexte : un rebond après une période creuse


En avril 2025, le marché immobilier breton montre des signes clairs de reprise après deux années de ralentissement marquées par une chute des transactions et une baisse des prix. Cette dynamique, portée par la baisse des taux d’intérêt, l’élargissement du Prêt à Taux Zéro (PTZ) et une stabilisation des prix, redonne confiance aux acheteurs et vendeurs. Si la reprise reste fragile, elle est particulièrement visible dans les métropoles comme Rennes, sur le littoral attractif, et dans le secteur de l’ancien. Cet article analyse les tendances de cette reprise en Bretagne, par département et secteur, avec des chiffres précis issus des données des notaires bretons, de plateformes comme Meilleurs Agents, et d’analyses sectorielles.


📊 Chiffres clés de la reprise


📈 Volume des transactions


  • 2024 : 65 000 transactions (estimation), en baisse de 23,4 % par rapport à 2022.

  • 2025 (prévision) : 75 000 transactions (+15 % par rapport à 2024), avec un potentiel de 80 000 si les conditions restent favorables (source : Notaires de Bretagne).

  • Tendance par trimestre : Une hausse de 10 % des ventes au 1er trimestre 2025 par rapport à fin 2024, particulièrement pour les appartements anciens (+3 % depuis mi-2024).


💶 Évolution des prix


  • Appartements anciens : Baisse de 2,9 % en 2024, suivie d’une stabilisation en 2025 (3 116 €/m², +1 % depuis mi-2024).

  • Maisons anciennes : Baisse de 0,7 % en 2024, avec une légère hausse en 2025 (2 393 €/m², +1,5 % prévu d’ici fin 2025).

  • Neuf : Les prix restent élevés (4 740 €/m² pour les appartements neufs en Ille-et-Vilaine), mais les ventes repartent (+5 % prévu en 2025).


📉 Taux d’intérêt


  • Février 2025 : Taux moyen de 3,19 % sur 20 ans, contre 4,25 % fin 2023.

  • Avril 2025 : Taux estimé à 3,25 %, avec des offres à 2,90 % pour les meilleurs profils (source : CAFPI).


📍 Tendances par département


🏙️ Ille-et-Vilaine : fer de lance de la reprise


  • Transactions : +10 % prévu en 2025 (environ 25 000 ventes contre 22 500 en 2024).

  • Prix :

    • Appartements anciens : 3 500 €/m² à Rennes (+1 % en 2025, après -3 % en 2024).

    • Maisons anciennes : 2 350 €/m² (+1 % en 2025).

  • Exemple : Rennes, studios à 3 839 €/m², hausse des ventes de 5 % au 1er trimestre 2025.

  • Littoral : Saint-Briac-sur-Mer, maisons haut de gamme (705 500 € médian), +3 % de transactions.


🌄 Côtes-d’Armor : reprise modérée


  • Transactions : +7 % prévu en 2025 (environ 15 000 ventes contre 14 000 en 2024).

  • Prix :

    • Appartements anciens : 2 700 €/m² (stable en 2025).

    • Maisons anciennes : 1 850 €/m² (+1 % en 2025).

  • Exemple : Saint-Malo, +2 % pour les maisons (autour de 3 500 €/m²).


🌊 Finistère : dynamisme du littoral


  • Transactions : +8 % prévu en 2025 (environ 18 000 ventes contre 16 600 en 2024).

  • Prix :

    • Appartements anciens : 2 300 €/m² (stable, après -2,9 % en 2024).

    • Maisons anciennes : 1 900 €/m² (+1,5 % en 2025).

  • Exemple : Brest, hausse des ventes (+7 %), prix en légère baisse (2 242 €/m² pour les studios). Concarneau : +3 % de demande.


🏖️ Morbihan : forte attractivité côtière


  • Transactions : +12 % prévu en 2025 (environ 14 000 ventes contre 12 500 en 2024).

  • Prix :

    • Appartements anciens : 2 800 €/m² (+1 % en 2025).

    • Maisons anciennes : 707 500 € médian à Carnac (+2 % en 2025).

  • Exemple : Vannes, prix stabilisés (3 000 €/m² pour les appartements), +10 % de transactions.


🏙️ Loire-Atlantique (Bretagne historique) : Nantes en tête


  • Transactions : +15 % prévu en 2025 (environ 20 000 ventes contre 17 400 en 2024).

  • Prix :

    • Appartements anciens : 3 600 €/m² à Nantes (stable, après -4 % en 2024).

    • Maisons anciennes : 2 800 €/m² (+1-2 % en 2025).

  • Exemple : La Baule, marché haut de gamme (640 000 € médian pour les maisons), +5 % de ventes.


🏘️ Tendances par secteur


🏠 Maisons vs 🏢 Appartements


  • Maisons anciennes : Reprise lente (-0,7 % en 2024), mais transactions en hausse (+8 % en 2025).

  • Appartements anciens : Plus résilients (-2,9 % en 2024), ventes +10 %, stabilisation des prix. Studios très prisés à Rennes (3 839 €/m²).


🔁 Neuf vs 🕰️ Ancien


  • Ancien : 90 % des transactions en 2024, +12 % de ventes en 2025, prix stables.

  • Neuf : Rebond progressif après chute en 2024 (-8,3 % ventes, -21,5 % chantiers), +5 % prévu.


🌅 Littoral vs 🏞️ Intérieur


  • Littoral : Forte reprise (Saint-Malo, Carnac, La Baule), +10 à 15 % de transactions, prix en hausse.

  • Intérieur : Reprise plus modeste (+5 %), freinée par une demande moins soutenue (ex : Maure-de-Bretagne, 1 980 €/m²).


🔧 Facteurs de la reprise


  • 📉 Baisse des taux : De 4,25 % à 3,25 %, amélioration du pouvoir d’achat.

  • 🏦 PTZ élargi : Favorise les primo-accédants dans toute la Bretagne.

  • 😊 Confiance retrouvée : Prix stables, délais de vente courts (75 jours à Rennes).

  • 🌍 Attractivité bretonne : Qualité de vie, dynamisme économique, atouts naturels.


🔮 Perspectives pour le second semestre 2025


  • 📈 Hausse des transactions : Jusqu’à 80 000 ventes attendues.

  • 📊 Légère hausse des prix : +1-2 %, notamment à Rennes et sur le littoral.

  • 🏗️ Relance du neuf : +10 % de ventes attendues, PTZ et promotions aidant.

  • ⚠️ Risques : Hausse des taux, instabilité économique (inflation, géopolitique).

🧭 Conseils pour les acteurs du marché


  • 🧑‍💼 Acheteurs : Moment favorable, privilégiez Rennes et les zones périurbaines.

  • 🏠 Vendeurs : Littoral à privilégier, bien estimer en zone rurale.

  • 💼 Investisseurs : Appartements à Rennes ou Nantes, attention aux DPE.


✅ Conclusion


En avril 2025, la reprise du marché immobilier breton est bien amorcée, avec une hausse des transactions (+15 % prévu, soit 75 000 ventes) et une stabilisation des prix (3 116 €/m² pour les appartements, 2 393 €/m² pour les maisons). Rennes et le littoral mènent la danse, soutenus par des taux d’intérêt en baisse (3,25 %) et le PTZ élargi. Si des incertitudes économiques persistent, 2025 s’annonce comme une année favorable pour les acheteurs et vendeurs, à condition de bien analyser les tendances locales et de saisir les opportunités de financement.


📚 Sources : Notaires de Bretagne, Meilleurs Agents, Netvendeur, Vousfinancer, FNAIM, Ouest-France, Le Télégramme.


🏡 Impact du climat politique et géopolitique sur le marché immobilier breton en avril 2025


👉 L’attentisme des acquéreurs et le baromètre immobilier


🌍 Contexte : un climat politique et géopolitique instable


🇫🇷 Fragilité du gouvernement Bayrou


Le gouvernement de François Bayrou, nommé en décembre 2024, traverse une crise de popularité.📊 Selon le baromètre Ipsos-Cesi pour La Tribune Dimanche (avril 2025), 67 % des Français ont une opinion défavorable de Bayrou, soit +3 points par rapport à mars, et seuls 24 % soutiennent son action.


📉 Le baromètre Odoxa-Mascaret (mars 2025) le désigne comme le Premier ministre le plus impopulaire de la décennie, avec 76 % des Français estimant qu’il n’est pas un bon chef de gouvernement.


⚠️ Cette fragilité, accentuée par des scandales comme l’affaire Bétharram (72 % de mauvaises opinions en février 2025), alimente un sentiment d’instabilité politique.


🏠 Les acquéreurs, craignant des changements fiscaux ou une motion de censure (soutenue par 57 % des Français en mars 2025), hésitent à s’engager dans des projets immobiliers coûteux.


🌐 Incertitudes géopolitiques


🪖 Guerre en Ukraine et tensions mondiales


L’escalade du conflit en Ukraine, avec une intensification des combats à l’est du pays et la crainte d’un élargissement du conflit, alimente l’anxiété des ménages.Les propos alarmistes d’Emmanuel Macron sur une « possible troisième guerre mondiale » (allocution du 27 mars 2025) ont marqué l’opinion publique.Selon une enquête IFOP d’avril 2025, 48 % des Français estiment que la guerre pourrait atteindre l’Europe de l’Ouest dans les deux prochaines années.


💰 Conflits économiques internationaux


Les tensions commerciales entre l’Europe et les États-Unis, relancées par les taxes protectionnistes décidées par Donald Trump en mars 2025 (droits de douane sur les voitures européennes, vins et fromages), ajoutent à l’inquiétude économique.Cette instabilité affecte les anticipations d’inflation et le niveau de confiance des ménages, qui préfèrent attendre des jours plus sereins avant de se projeter dans l’achat d’un bien.


🏘️ Conséquences sur le marché immobilier breton


😬 Attentisme des acquéreurs


Malgré des taux d’intérêt bas (3,25 % en avril 2025), un PTZ élargi, et une stabilisation des prix, les professionnels constatent une forme de gel partiel du marché sur certaines zones.Les notaires bretons relèvent un allongement des délais de décision, notamment pour les résidences principales.Meilleurs Agents note une augmentation des consultations en ligne (+8 % en avril), mais une stagnation des prises de contact avec les agences (+1,2 % seulement).


📉 Indicateurs de prudence


Les délais de vente, bien qu’encore raisonnables (75 jours en moyenne à Rennes), remontent légèrement (+5 jours par rapport à février).Dans le Finistère et les Côtes-d’Armor, le nombre de compromis signés est en recul de 3 % par rapport à mars.Les investisseurs locatifs sont également plus prudents, anticipant de possibles mesures fiscales défavorables en cas de basculement politique.


📊 Baromètre immobilier d’avril 2025 : entre reprise et incertitude


📈 Transactions


Environ 75 000 ventes sont attendues en Bretagne en 2025 (+15 % par rapport à 2024), mais les professionnels notent une reprise en demi-teinte sur avril, avec des écarts départementaux marqués.Les zones les plus dynamiques restent Rennes, Nantes, Vannes et le littoral sud. Les zones rurales, elles, voient une reprise freinée.


💸 Prix


Les prix restent globalement stables, voire légèrement en hausse à Rennes, Vannes ou Saint-Malo (+1 à +2 %), mais d’autres secteurs comme Brest ou le centre Bretagne affichent une stagnation.La peur d’un retournement fiscal ou géopolitique pousse les acheteurs à négocier plus, avec des baisses de 3 à 5 % parfois acceptées sur les maisons anciennes.


🔍 Conclusion


En avril 2025, malgré des conditions techniques favorables (taux, PTZ, prix stables), le marché immobilier breton est freiné par un contexte anxiogène, à la fois politique et géopolitique.L’attentisme des acquéreurs, particulièrement dans les zones les plus sensibles à la conjoncture, ralentit la dynamique.Les professionnels appellent à la vigilance, à une bonne communication sur les fondamentaux du marché, et à une anticipation des risques liés aux annonces politiques à venir.Les mois suivants seront décisifs pour savoir si la reprise entamée depuis fin 2024 peut se consolider… ou être de nouveau contrariée par l’actualité mondiale. 🌐






 
 
 

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