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Immobilier entre retractation et valeur sure 2025

  • christiantonelli
  • il y a 1 jour
  • 12 min de lecture

L’immobilier face aux incertitudes économiques et géopolitiques mais toujours une valeur sûre


Dans un monde marqué par des bouleversements économiques et géopolitiques, le marché immobilier français se trouve à la croisée des chemins. Alors que les acheteurs se montrent de plus en plus prudents, comme le révèle Le Monde dans son article sur la hausse des rétractations, des facteurs externes viennent complexifier leurs décisions. L’allocution d’Emmanuel Macron en mars 2025, évoquant les « prémices » d’une possible troisième guerre européenne en lien avec le conflit russo-ukrainien, a amplifié les craintes d’instabilité, impactant la confiance des investisseurs immobiliers. Pourtant, malgré ces incertitudes, l’immobilier reste souvent perçu comme une valeur refuge à long terme, surpassant les rendements des banques et de la bourse.


À travers trois articles, nous explorons les défis actuels du marché, l’influence des tensions internationales et les arguments qui font de la pierre un investissement solide pour l’avenir. Plongez avec nous dans cette analyse d’un secteur sous tension, mais toujours résilient.


1 - Immobilier : Pourquoi les acheteurs deviennent-ils si prudents et se rétractent-ils davantage ?


Le marché immobilier français traverse une période de frilosité marquée, comme le souligne un récent article du Monde. Les acheteurs, autrefois décidés, adoptent désormais une prudence accrue, allant jusqu’à se rétracter après avoir signé des offres d’achat. Mais qu’est-ce qui explique ce changement d’attitude ? Décryptage des raisons derrière ce phénomène.


Un climat d’incertitude qui pèse lourd


Dans un contexte économique et politique incertain, les acheteurs hésitent à s’engager. Entre la peur de surpayer un bien et les questionnements sur l’avenir, beaucoup préfèrent temporiser. Ce sentiment est amplifié par une offre abondante dans certaines villes, où le large choix de biens pousse les acquéreurs à douter : est-ce vraiment le bon moment, le bon bien ? Comme le note Caroline Louboutin, de Sotheby’s International Realty à Nantes, « les acheteurs prennent leur temps, comparent, et parfois, renoncent ».


Des rétractations en hausse


Les professionnels du secteur, comme Eric Allouche, directeur exécutif d’ERA France, observent une augmentation des désistements, souvent juste avant la signature de l’avant-contrat. Les acheteurs signent une offre, mais au dernier moment, un doute ou une contrainte les pousse à faire marche arrière. Ce comportement fragilise les transactions et complique la tâche des agents immobiliers, qui doivent redoubler d’efforts pour rassurer et accompagner.


Le financement, un obstacle majeur


Olivier Kretz, de Kretz Real Estate, pointe une autre cause : l’accès plus souple aux crédits immobiliers. Si les banques se montrent moins strictes, elles ne garantissent pas toujours l’accord final du prêt. Résultat ? Certains acheteurs, mal préparés, découvrent en cours de route que leur financement ne suivra pas et se retirent. Cette situation est d’autant plus fréquente que les agents, confiants dans l’assouplissement des conditions, filtrent moins les dossiers en amont.


Les travaux, un frein budgétaire


Autre facteur clé : l’envolée des coûts de rénovation. Face à des travaux imprévus ou plus coûteux que prévu, beaucoup d’acheteurs peinent à boucler leur budget. Ce qui semblait être une bonne affaire se transforme alors en gouffre financier, incitant à l’abandon du projet.


Un cadre légal qui facilite les revirements


En France, le cadre réglementaire joue aussi un rôle. Les acheteurs disposent de plusieurs opportunités pour se rétracter : délai de réflexion après une offre, période de rétractation après l’avant-contrat… Ces garde-fous, pensés pour protéger, encouragent parfois les hésitations.


Un marché en quête de stabilité


Malgré une légère amélioration des conditions de crédit, le marché immobilier peine à retrouver une dynamique franche. La prudence des acheteurs, conjuguée à ces multiples obstacles, freine la reprise. Pour les professionnels, l’enjeu est clair : mieux accompagner les acquéreurs, clarifier les contraintes financières dès le départ et redonner confiance dans un contexte incertain.


2 - L’allocution d’Emmanuel Macron sur « les prémices » d’une troisième guerre européenne : un facteur d’hésitation pour les acheteurs immobiliers ?


Dans un climat économique et géopolitique déjà marqué par l’incertitude, l’allocution télévisée d’Emmanuel Macron du 5 mars 2025 a jeté une lumière crue sur les tensions internationales, notamment autour de la guerre en Ukraine et de la menace russe. En évoquant les « prémices » d’une possible « troisième guerre européenne » liée au conflit russo-ukrainien, le président français a suscité des inquiétudes légitimes chez les Français. Mais ce discours a-t-il joué un rôle dans la prudence croissante des acheteurs immobiliers, marquée par une hausse des rétractations, comme rapporté dans un récent article du Monde ? Explorons cette question.


Un discours alarmant dans un contexte tendu


Lors de son allocution, Emmanuel Macron a dressé un tableau préoccupant : « La guerre en Ukraine, qui a entraîné près d’un million de morts et de blessés, continue avec la même intensité. […] La menace russe est là et touche les pays d’Europe. Nous touche. » En qualifiant la Russie de « menace pour la France et pour l’Europe », il a insisté sur la nécessité d’une « économie de guerre » et d’investissements massifs dans la défense, sans hausse d’impôts, tout en mobilisant l’« engagement » des citoyens. Ce ton solennel, accompagné de cartes et d’infographies pour illustrer l’agressivité russe, a marqué les esprits, amplifiant les craintes d’une escalade militaire.


Le président a également évoqué un changement d’ère géopolitique, marqué par le désengagement américain et la nécessité pour l’Europe de s’autonomiser stratégiquement. Ces déclarations, bien que destinées à galvaniser l’opinion publique, ont accentué le sentiment d’insécurité, déjà palpable dans un contexte de hausse des coûts de l’énergie, d’inflation et de contraintes budgétaires.


Un lien avec les hésitations immobilières ?


L’article du Monde intitulé « Immobilier : des acheteurs prudents, qui se rétractent davantage » met en lumière une tendance claire : les acheteurs immobiliers français, confrontés à un climat économique incertain, hésitent et se désistent plus fréquemment. Plusieurs facteurs sont cités, comme les incertitudes économiques, les difficultés de financement, l’augmentation des coûts de travaux et un large choix de biens sur le marché. Mais le discours alarmiste de Macron a-t-il exacerbé cette frilosité ? La réponse semble être oui, pour plusieurs raisons.


1. Amplification de l’anxiété générale


Le discours de Macron, en soulignant la gravité de la situation géopolitique, a renforcé l’anxiété des Français. Selon un sondage mentionné dans La Dépêche, 76 % des Français craignent une extension du conflit ukrainien, et 64 % redoutent qu’il atteigne la France. Cette peur d’un conflit élargi, voire d’une « troisième guerre européenne », peut dissuader les acheteurs de s’engager dans des projets immobiliers coûteux et à long terme. Comme le note Caroline Louboutin, agente immobilière à Nantes, les acheteurs « prennent leur temps, comparent, et parfois, renoncent » face à un climat anxiogène.


2. Incertitudes budgétaires et réorientation des priorités


Macron a annoncé des « investissements supplémentaires » dans la défense, tout en promettant de ne pas augmenter les impôts. Cette promesse soulève des questions sur les arbitrages budgétaires à venir. Comme le souligne un article de MaFormationImmo, cette réorientation vers une « économie de guerre » pourrait réduire les fonds alloués à des programmes comme MaPrimeRénov’, qui soutient la rénovation énergétique des logements. Or, ces aides sont cruciales pour de nombreux acheteurs, notamment ceux qui doivent financer des travaux coûteux. La crainte de voir ces subventions diminuer peut inciter à reporter ou annuler un achat.


De plus, l’appel à mobiliser l’épargne privée pour financer la défense, évoqué par Macron dès février 2025, pourrait pousser les ménages à conserver leurs économies plutôt que de les investir dans l’immobilier. Cette incertitude budgétaire renforce la prudence des acheteurs, qui redoutent une dégradation de leur pouvoir d’achat.


3. Un contexte géopolitique qui freine la confiance


Le discours de Macron, en insistant sur la menace russe et l’isolement relatif de l’Europe face au désengagement américain, a pu éroder la confiance dans la stabilité à long terme. Les acheteurs immobiliers, souvent engagés sur des décennies via des prêts, sont particulièrement sensibles à ces signaux. La perspective d’une Europe confrontée à des tensions géopolitiques majeures, voire à un conflit élargi, peut les pousser à différer leurs projets, surtout dans un marché où l’offre abondante leur donne le luxe d’attendre.


Une prudence multifactorielle, mais amplifiée par la rhétorique présidentielle

Si l’allocution de Macron n’est pas la seule cause des hésitations des acheteurs immobiliers, elle a probablement agi comme un catalyseur. En mettant en avant la gravité de la situation internationale et en employant des termes aussi forts que « prémices d’une troisième guerre européenne », le président a contribué à cristalliser les peurs d’un avenir incertain. Ces inquiétudes, combinées aux contraintes financières et à un marché immobilier en mutation, expliquent pourquoi les acheteurs se montrent si prudents, voire frileux.


Et maintenant ?


Pour les professionnels de l’immobilier, ce contexte impose de redoubler d’efforts pour rassurer les clients. Clarifier les conditions de financement dès le départ, proposer des biens adaptés aux budgets et anticiper les évolutions des aides publiques pourraient limiter les rétractations. Quant aux acheteurs, ils doivent peser leurs décisions dans un environnement complexe, où les incertitudes géopolitiques, amplifiées par des discours comme celui de Macron, viennent s’ajouter aux défis économiques.


Et vous, ressentez-vous l’impact de ce climat géopolitique sur vos projets immobiliers ? Partagez votre point de vue en commentaire !


Comment convaincre que l’achat immobilier est une valeur sûre à long terme face aux banques et à la bourse ?


Dans un contexte d’incertitudes économiques et géopolitiques, comme celui évoqué récemment avec la prudence des acheteurs immobiliers et les tensions internationales, nombreux sont ceux qui se demandent où placer leur argent. Entre les comptes bancaires, la bourse et l’immobilier, quel est le meilleur refuge pour sécuriser son patrimoine sur le long terme ? Voici un argumentaire structuré, sous forme d’article de blog, pour persuader que l’immobilier reste une valeur sûre et un investissement plus stable que les banques ou la bourse.


3 - Pourquoi l’immobilier reste une valeur refuge face aux banques et à la bourse


Dans un monde où l’inflation, les crises géopolitiques et les fluctuations des marchés financiers sèment le doute, l’achat immobilier continue de séduire comme une valeur refuge. Mais qu’est-ce qui rend la pierre si attractive à long terme, comparée aux comptes bancaires ou aux investissements boursiers ? Voici cinq arguments clés pour convaincre que l’immobilier est un choix judicieux.


1. Une stabilité historique face à l’inflation


Contrairement aux liquidités placées sur un compte bancaire, dont le pouvoir d’achat est érodé par l’inflation, l’immobilier a prouvé sa résilience. En France, sur les 30 dernières années, les prix immobiliers ont globalement suivi ou dépassé l’inflation, selon les données de l’INSEE. Par exemple, entre 1990 et 2020, la valeur moyenne des logements a progressé de 3 à 4 % par an dans les grandes villes, même en tenant compte des crises comme celle de 2008.


Les livrets bancaires, comme le Livret A, offrent des rendements souvent inférieurs à l’inflation (1,75 % en 2025, contre une inflation estimée à 2-3 %). Résultat : votre épargne perd de la valeur en termes réels. La bourse, quant à elle, peut offrir des rendements élevés (7 % annuels en moyenne pour le CAC 40 sur 20 ans), mais elle est soumise à des cycles de volatilité imprévisibles. L’immobilier, bien que sujet à des fluctuations, reste plus stable, surtout dans des zones à forte demande (grandes métropoles, littoraux).


Pourquoi c’est convaincant : L’immobilier protège votre capital contre l’érosion monétaire, contrairement aux comptes bancaires, et offre une prévisibilité que la bourse ne peut garantir.


2. Un actif tangible et utilitaire


L’immobilier a une qualité unique : c’est un bien physique que vous pouvez voir, toucher et utiliser. Que vous achetiez pour y vivre ou pour louer, il répond à un besoin fondamental : se loger. Cette dimension tangible rassure, surtout en période de crise, comme celle évoquée par l’allocution d’Emmanuel Macron sur les tensions russo-ukrainiennes en mars 2025. En cas de bouleversement économique ou géopolitique, un bien immobilier conserve une valeur intrinsèque, contrairement aux actions boursières, qui peuvent s’effondrer du jour au lendemain (pensez au krach de 2008 ou à la chute des techs en 2022).


Les comptes bancaires, bien que sécurisés jusqu’à 100 000 € par le Fonds de Garantie des Dépôts, ne génèrent presque aucun retour et restent vulnérables à des scénarios extrêmes, comme une crise bancaire ou une dévaluation monétaire. Un logement, lui, reste un actif concret, utilisable ou monétisable via la location.


Pourquoi c’est convaincant : L’immobilier offre une sécurité psychologique et pratique, loin de l’abstraction des chiffres bancaires ou boursiers.


3. Un levier financier puissant grâce au crédit


L’immobilier est l’un des rares investissements où vous pouvez utiliser l’effet de levier du crédit. En empruntant, vous investissez avec l’argent de la banque tout en profitant de la valorisation totale du bien. Par exemple, avec un apport de 50 000 € et un prêt de 200 000 €, vous achetez un bien de 250 000 €. Si sa valeur augmente de 10 % en 5 ans, vous gagnez 25 000 € sur votre mise initiale de 50 000 €, soit un rendement de 50 % ! En comparaison, placer 50 000 € sur un compte bancaire ou en bourse ne permet pas un tel effet multiplicateur.


De plus, les taux d’intérêt, bien qu’en hausse (environ 3,5-4 % en 2025 pour un prêt sur 20 ans), restent historiquement abordables, et les loyers perçus peuvent couvrir une partie, voire la totalité, des mensualités. La bourse, elle, exige d’investir des sommes importantes pour diversifier et réduire les risques, sans garantie de rendement. Quant aux livrets bancaires, ils ne permettent aucun effet de levier.


Pourquoi c’est convaincant : L’immobilier permet de maximiser les gains avec un investissement initial limité, un avantage inaccessible aux placements bancaires ou boursiers.


4. Des revenus passifs via la location


Investir dans l’immobilier locatif offre une source de revenus réguliers, contrairement aux comptes bancaires, qui rapportent peu, ou à la bourse, où les dividendes sont incertains. En 2025, le rendement locatif brut moyen en France oscille entre 3 et 7 % selon les villes (par exemple, 5-6 % à Nantes ou Lille, selon MeilleursAgents). Après déduction des charges et impôts, ce rendement reste souvent supérieur à celui des livrets bancaires et plus stable que les dividendes boursiers, qui dépendent de la santé des entreprises.


En période d’incertitude, comme celle évoquée par le Monde avec la frilosité des acheteurs, la demande locative reste forte, notamment dans les zones urbaines et étudiantes. Cela garantit une certaine pérennité des revenus, même si les prix immobiliers stagnent temporairement.


Pourquoi c’est convaincant : L’immobilier génère des flux financiers prévisibles, idéaux pour sécuriser son avenir, contrairement à la passivité des comptes bancaires ou à la volatilité des dividendes.


5. Une diversification patrimoniale et une transmission facilitée


L’immobilier permet de diversifier son patrimoine, réduisant ainsi les risques globaux. Si la bourse peut s’effondrer en cas de crise (comme en 2008, où le CAC 40 a perdu 40 %), et si les liquidités bancaires s’érodent avec l’inflation, un bien immobilier conserve une valeur à long terme, même en période de turbulence. De plus, il est plus facile de transmettre un bien immobilier à ses héritiers, grâce à des dispositifs fiscaux avantageux (abattements sur les donations, démembrement de propriété).


En comparaison, transmettre des actions boursières peut être complexe et fiscalement moins intéressant, tandis que l’épargne bancaire, bien que liquide, n’offre pas de perspective de valorisation pour les générations futures.


Pourquoi c’est convaincant : L’immobilier renforce la solidité patrimoniale et facilite la transmission, un atout que ni les banques ni la bourse ne peuvent égaler.


Répondre aux objections : et les crises, alors ?


Certains pourraient objecter que l’immobilier n’est pas à l’abri des crises, comme celle de 2008 ou les incertitudes actuelles liées aux tensions géopolitiques. C’est vrai, mais les baisses immobilières sont généralement moins brutales et plus lentes que les krachs boursiers. De plus, en adoptant une vision à long terme (10-20 ans), les cycles baissiers sont lissés, et la valeur des biens finit par remonter, surtout dans des zones à forte demande.


Quant aux contraintes financières (travaux, taxes), elles peuvent être anticipées avec une bonne préparation : choix d’un bien bien situé, estimation rigoureuse des coûts, et recours à des professionnels pour sécuriser l’investissement.


En conclusion : l’immobilier, un refuge pour l’avenir


Face aux incertitudes économiques et géopolitiques, l’immobilier se distingue comme une valeur refuge grâce à sa stabilité, son caractère tangible, son effet de levier, ses revenus passifs et sa capacité à diversifier le patrimoine. Contrairement aux comptes bancaires, qui s’érodent avec l’inflation, et à la bourse, exposée à une forte volatilité, l’immobilier offre une sécurité à long terme, particulièrement pour ceux qui investissent avec une vision stratégique.


Alors, prêt à miser sur la pierre pour sécuriser votre avenir ? Partagez vos réflexions ou posez vos questions en commentaire !


Conseils pratiques pour convaincre :


  • Utiliser des exemples concrets : Parler d’un bien acheté il y a 20 ans dont la valeur a doublé, ou comparez le rendement d’un loyer à celui d’un Livret A.

  • Rassurer sur les risques : Expliquer que les crises immobilières sont temporaires et que le choix d’un bon emplacement minimise les pertes.

  • Adapter à l’interlocuteur : Si la personne craint l’endettement, mettre en avant la location comme source de revenus pour rembourser le prêt.


Cet argumentaire, ancré dans les réalités du marché 2025 et les préoccupations actuelles, devrait convaincre même les plus sceptiques de la solidité de l’immobilier comme investissement à long terme.


Conclusion : L’immobilier, un refuge dans la tempête


Les dynamiques actuelles du marché immobilier français, marquées par une prudence accrue des acheteurs et une hausse des rétractations, reflètent un climat d’incertitude exacerbé par des tensions géopolitiques. L’allocution d’Emmanuel Macron en mars 2025, évoquant les « prémices » d’une possible troisième guerre européenne liée au conflit russo-ukrainien, a jeté une ombre sur la confiance des investisseurs, accentuant leurs hésitations face à un marché déjà fragilisé par des contraintes financières et un large choix de biens. Pourtant, malgré ces vents contraires, l’immobilier conserve son statut de valeur refuge. Sa stabilité historique, son caractère tangible et ses rendements à long terme en font un investissement plus sûr que les banques ou la bourse, même en période de crise. Si les incertitudes actuelles appellent à la prudence, elles rappellent aussi que la pierre, bien choisie, reste un rempart solide pour sécuriser l’avenir dans un monde en mutation.





Cet article vous est proposé par LGM Immobilier secteur Bretagne







 
 
 

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